Qui, parmi les centaines de managers qui performent actuellement dans leur mission de transition, a dit enfant : « plus tard, je serai manager de transition » ? Lequel d’entre eux a choisi telle ou telle école supérieure afin de se préparer au management de transition ? Aucun, personne. Car manager de transition n’est ni une fonction, ni un métier, mais un statut de contribution. On est Directeur général, DAF, DRH, DSI, Directeur opérationnel, etc.. Avec des expériences probantes, conséquentes, multiples, dans des environnements variés et exigeants. Et, devenu manager de transition, on apporte expérience, expertise, solutions, dans une unique logique de contribution. Les parcours professionnels d’aujourd’hui, dans une société en mutation constante qui impose adaptation, flexibilité, agilité, amènent ces cadres dirigeants à l’Interim Management par plusieurs types de leviers.  

Par opportunité

Parce qu’un cabinet de management de transition aura identifié, rencontré, validé puis placé un cadre dirigeant sur une mission. Le faisant ainsi basculer dans un nouveau monde qu’il n’aura bien souvent plus envie de quitter.  

Par volonté

Car après plusieurs dizaines d’années sur des fonctions du Top Management, il y a le besoin, quand ce n’est la nécessité, de s’affranchir d’enjeux politiques ou stratégiques qui freinent et limitent les convictions. On veut se réaliser dans l’action, le diagnostic, le mode projet, le résultat.  

Par nécessité

Le monde de l’entreprise génère des décisions catégoriques et rapides. L’équipe dirigeante doit être renouvelée vite pour incarner le début d’une transformation ou envoyer le signal d’une amorce de fin de crise. Les dirigeants concernés, n’ayant connu que l’action et l’implication totale, se doivent de « rebondir » vite. Il en va de leur équilibre. Ils se renseignent alors auprès de la FNMT, de leur réseau, cherchent quel est le meilleur cabinet de management de transition. iIls en rencontrent deux, trois, quatre et basculent à leur tour dans ce nouveau monde lorsque l’un d’entre eux leur propose une mission en adéquation avec leur parcours et leur expertise. Ils réalisent alors que le management de transition offre une qualité de missions et un intérêt professionnel que le cadre moins souple et plus contraint du salariat n’apporte pas.  

Par la "bonne fortune"

Au gré de ses lectures ou de ses rencontres. On lit un article et on découvre ou redécouvre que WAYDEN est un « pure player du management de transition ». iOn fait du networking et on rencontre un manager de transition dont l’expérience et le vécu suscitent une vocation. On entend que telle ou telle entreprise a recours à un manager de transition pour accompagner une phase de transformation, de redressement ou de carence managériale. Alors on se renseigne, on sollicite les acteurs du marché du Management de transition et on se prépare à basculer à son tour. Quel que soit le chemin les ayant amenés au management de transition, les cadres dirigeants qui passent du statut de « candidat » à celui de « manager en mission » ont tous des dénominateurs communs.  Ils sont extrêmement qualifiés. Les managers ont réussi aux plus hautes fonctions, sont agiles, dotés d’une très forte capacité d’adaptation. Et ils analysent vite les situations. Ils savent établir des diagnostics rapides et prioriser leur action, mobiliser les équipes internes et travailler dans la transversalité. Fortement opérationnels, une seule chose les anime : le résultat, avec l’accomplissement et la réussite sur la mission qui leur a été confiée. Curieux, ce sont le challenge et l’opportunité d’appréhender de nouveaux contextes, organisations et cultures d’entreprises, qui les mobilisent au démarrage d’une nouvelle mission. Chaque semaine, des femmes et des hommes qui se reconnaissent dans ce portrait nous contactent pour devenir le prochain manager à partir sur une mission.   Serez-vous l’un d’entre eux ? Postulez